Sortie culturelle et scientifique, à Bordeaux des classes de 4ème 3 et 4 (14/02/2025)

vendredi 14 février 2025, les élèves des classes de 4ème 3 et 4, ont passé cette journée à Bordeaux, notre capitale régionale.

Si le temps a été typiquement bordelais, il n’a pas toujours plu.

  • LE PROGRAMME DE CETTE SORTIE
  • Arrivée, 10H30 Place des Quinconces–
  • Au CAPC, Visite commentée de l’exposition « Air de Repos « 
  • 12H30 – transport en bus jusqu’au Pont Chaban-Delmas + repas, puis visite guidée du quartier des Bassins à flot- écluse – pont tournant – Bases sous-marine –« La soucoupe volante », sculpture, commande publique passée à l’artiste Suzanne Treister – passage dans les jardins de la cité du vin
  • 15H – Visite guidée de l’exposition  « Dinosaures » à Cap-Siences
  • 17H, retour en tram Place des Quinconces, promenade vers la fontaine/monument aux Girondins + Repas du soir entre 18 et 19H place de la Comédie
  • 19H30, entrée au Grand-Théâtre pour assister, à 20H à la représentation de l’Opéra « Le Barbier de Séville revisited » (nouvelle production, 1H30)

Ce déplacement, gratuit pour les familles, a été financé par La Région Nouvelle Aquitaine et le collège H De Navarre. les visites et le spectacles, sont en lien avec les programmes de Technologie, Arts Plastiques, Sciences Physiques, Musiques, SVT, Histoire/Géographie, Français et d’autres de manière transversale.

La visite de l'exposition "AIR DE REPOS", au CAPC -centre d'Art Plastique Contemporain

Jusqu’au 5 mai 2025, avec « AIR DE REPOS » (Breathwork), le CAPC – Musée d’Art Contemporain de Bordeaux invite à souffler avec le concours de 28 artistes et 70 œuvres investissant l’ensemble du bâtiment.

De la perception a l’interprétation – Comment ce qui préoccupe les artistes nourrit-il leur création artistique ? Quels sont les effets produits par leurs choix expressifs sur la perception, puis sur l’interprétation des spectateurs ?

– C’est l’acte même de respirer qui a présidé au choix du parcours thématique de visite de l’exposition « AIR DE REPOS » (Breathwork). Les œuvres choisies interrogent l’espace dans lequel nous respirons, la manière dont nous respirons et la qualité de l’air respiré.

– Elles questionnent les modalités de représentions d’un musée sans image. C’est-à-dire, qu’est-ce qui fait image sans représentation classique conventionnellement identifiées dans un musée comme l’était la peinture ?

– Cette mise en perspective de l’exposition de « Air de Repos » (Breathwork) ouvre le champ de l’expérimentation en arts plastiques, autour des questions de la représentation. Cette exposition interroge l’objet et son utilisation, l’objet comme matériau, l’air comme matériau. – – Comment cette modalité de représentation, ou un geste Plastique peut-il agir sur notre perception et faire image ? Quel effet produit-il sur l’expérience esthétique ? Comment cela génère-t-il du sens ? Quelles émotions, quelles impressions sont engendrées par la perception des œuvres ?

– Ce que chacun perçoit d’un même objet observé est hétérogène. La perception de chaque individu est à la fois universelle et intime, car nourrie de son vécu, de son histoire. L’interprétation est toute subjective, elle n’a pas de vérité intrinsèque.

– L’expérimentation par le corps sera la clé de voute pour appréhender le regard subjectif des œuvres rencontrées. Ce regard sera confronté au regard de l’artiste sur sa société.

Ainsi seront dégagées de grandes notions artistiques et des procédés plastiques qui leur sont inhérents : le READY-MADE et le statut de l’objet dans l’art, l’art et le son, l’art et la vidéo, les installations. Autant de notions qui établissent le lien entre les moyens de représentation et l’effet produit, entre la perception, l’interprétation et le propos de l’artiste.

Quelques œuvres commentées :

  • Lea Porsager, artiste Danoise née en 1981
  • H.O.L.Y. S.P.I.R.I.T., 2024 – Pales d’éoliennes découpées. Dimensions variables.
  • Intéressée par ce qui relève de l’intangible – aussi bien la physique quantique que le spirituel, Lea Porsager a porté son attention sur les éoliennes, qui la fascinent depuis son enfance. Au Danemark, les éoliennes ont commencé à apparaitre dans le paysage dès les années 1990. En 2023, le pays scandinave produisait plus de la moitié de son énergie électrique grâce à l’éolien. Depuis peu, les éoliennes de première génération sont remplacées, ce qui pose question quant à leur destination. Les pales présentées au CAPC proviennent d’un centre de recherche universitaire qui explore plusieurs voies pour les recycler (en mobilier urbain par exemple). L’artiste, ici, a transmuté la sienne en œuvre grâce à l’action alchimique de l’Art. Exposée, immobile, contemplée, expliquée, elle aura changé de statut et de fonction pour ne pas polluer. Léa Porsager en coupant ces 3 pales d’une même en plusieurs morceaux, permet de voir à l’intérieur dont on ne se préoccupe jamais. Les coupes font apparaitre des similitudes avec des parties de corps humains : des cordes vocales, des trachées en rapport avec le souffle. Pour l’artiste, qui a grandi a proximité d’une éolienne dans la campagne danoise, la présence de cette technologie dans le paysage a quelque chose de spirituel. Elles s’élèvent comme des totems, des divinités abstraites.  Léa Porsager nomme son œuvre H.O.L.Y.S.P.I.R.I.T, qui est le terme anglais pour Saint-Esprit. Décrit dans les textes religieux comme un être sans corps et sans chair, ou encore comme le « souffle divin », il est souvent représenté par une colombe, un être ailé. Ce titre souligne le caractère immatériel de la sculpture, ses vides et son mouvement passé. Il permet aussi de revenir sur l’idée que les Grecs considéraient le souffle comme ce qui contenait l’âme (la pneuma).
  • Rhea Dillon (1996-Londres)Ecrivaine, artiste et poète, Rhea Dillon travaille aussi bien la peinture que la vidéo, l’écriture, l’installation et la sculpture. Son travail participe d’une exploration de la condition noire et d’une pensée Féministe. S’intéressant à ce que l’on rend visible et ce que l’on cache derrière le terme « noir », ses productions s’inscrivent dans le mouvement de l’art minimal et de l’abstraction.
  • Au sein d’ »Air de repos », elle présente, « Placing Her Within An Alterable Terrain » (La placer sur un terrain instable), sculpture qui fait initialement partie de six pièces évoquant les yeux, la bouche, les organes reproducteurs, les mains, les pieds et les poumons d’une femme noire. Le cube en plexiglas installé dans la nef, mesure 160 cm de côté, ce qui correspond à la taille moyenne des femmes à travers le monde. Avec sa présence imposante, mais Impalpable, le cube ne contient que de l’air, une allusion directe aux poumons et a notre respiration. Avec cette œuvre, Rhea Dillon rend notamment hommage a Ella Adoo-Kissi-Debrah, une jeune fille noire de neuf ans décédée en 2013 à Londres, des suites d’une crise d’asthme aigue. Pour la première fois à l’échelle mondiale, la pollution de l’air a été reconnue comme cause officielle de décès.
  • Steffani Jemison (née en 1981: artiste interdisciplinaire et une écrivaine vivant à Brooklyn, New York).
  • « Same Time », 2024- Toile de fond déclassée. 556 x 1214 x 271 cm
  • « Untitled », 2024 – Acier galvanise, poteau en laiton, quincaillerie en métal. Les déplacements du corps – et plus spécifiquement du corps noir – et ses « performances » sont au cœur de la pratique artistique de l’artiste américaine Steffani Jemison. Dans ses vidéos, comme dans ses dessins et ses sculptures, elle questionne ces corps et la manière dont ils peuvent – littéralement comme figurativement – prendre leur envol, fuir et fuguer. Fuguer pour mieux échapper a certaines formes d’emprise, de capture et de violence. S’envoler pour prendre de la hauteur et se défaire de certains poids.
  • L’œuvre présentée est un readymade: Toile de fond de scène, décor de théâtre récupéré et renversé par l’artiste. Par cette action, maintenant c’est à cet objet que l’on prête attention. La structure métallique positionnée non loin du ciel étoilé, peut aussi faire penser aux coulisses d’un théâtre, tout en évoquant des architectures de jeu – telles qu’on pourrait en trouver sur une aire de repos. Elle est surplombée d’une lance en laiton qui pointe vers le ciel. L’artiste s’intéresse en effet, et ce depuis plusieurs années, a différents mythes qui ont trait à l’envol et notamment le mythe d’Icare et celui de l’Africain volant. Ce dernier, repris par de nombreux écrivains (Toni Morrison, Ralph Ellison, Paule Marshall, Octavia Butler), veut que le peuple Igbo avait la capacité de voler et que grâce a cela certains ont pu échapper à l’esclavage. C’était donc, déjà, considérer le vol comme un acte de résistance.

Les élèves (et les profs) ont pu faire l’expérience de cette méthode de respiration  et de relaxation. Celles et ceux pratiquant le Rugby ont constaté qu’elle faisait déjà partie de leur entrainement habituel.

Lien vers le site des architectes Denis Valode et Jean Pistre qui ont réhabilité les entrepôts lainé pour les convertir en centre d’Art entre 1979 et 1990 : https://v-p.com/projet/capc-musee-dart-contemporain/

« AIR DE REPOS » joue sur les multiples interprétations du mot AIR(E), clin d’œil nostalgique de départ en vacances sur les aires d’autoroutes mais aussi à l’architecture d’origine du CAPC en forme de caravansérail, augmenté d’une dimension politique de la respiration. L’exposition dessine un paysage radical et volontairement vide d’images, mis au repos. Si l’acte de respirer est devenu un enjeu sociétal majeur, il renvoie aux inégalités d’accès à un air exempt de pollution, le musée devient une « machine d’assistance respiratoire« , dans le sens ou son ambiance incite à changer de rythme, à prendre une pause, à reprendre son souffle dans cette bulle isolée du contexte urbain : (malgré les injonctions contradictoires de tout musée-ne pas toucher !- ne pas courir !- ne pas manger !- ne pas crier! ..Etc … ). La trentaine d’artistes réunis appartiennent à la même génération et partagent une posture poétique critique commune. De nombreuses œuvres ont été produites in situ pour l’occasion.

A voir sur toutes les images (œuvre soufflante et sonore)

  • Ima-Abasi Okon (artiste anglaise née en 1981. Vit et travaille Londres et Amsterdam).
  • présente sa piece acquise par la Tate Galery : (Unbounded [sic]-Vibrational [sic] Always [sic]-on-the Move [sic]) Praising Flesh (An Extra aSubjective p,n,e,u,m,a-mode of Being T,o,g,e,t,h,e,r), une rangée de 11 climatiseurs industriels reliés par d’ostentatoires faisceaux de câbles, accompagnée d’une bande sonore et installée de manière spécifique pour l’exposition. Agissant à la fois comme un système de refroidissement pour la galerie et comme émetteur d’œuvre sonore, les ventilateurs fonctionnent à différentes vitesses et durées.
  • Dans les climatiseurs ne restent que les ventilateurs. Ce sont les témoins de la nécessité de contrôler le climat pour vivre nos quotidiens. Habituellement nous leur prêtons peu d’attention. Ici, ils sont visibles de tout point de vue sur la nef du musée. Leur une brise légère ventile les visiteurs. Fonctionnant par intermittence et a des vitesses variées, ces climatiseurs sont comme des substituts à nos respirations.
  • 6 des 11 climatiseurs diffusent une production sonore : version remixée, ralentie et instrumentale du titre « Adorn » (2012) du chanteur Miguel. L’artiste se demande, avec ce nouveau rythme, si on peut s’autoriser à être paresseux aujourd’hui, se trouver à contre-courant des injonctions productiviste et de la vitesse. Ima-Abasi Okon invite à changer de rythme, ce que l’on retrouve également dans sa manière de titrer ses œuvres : les mots, scandés par des ponctuations, sont eux-mêmes ≪ ralentis ≫, comme ≪ pneuma ≫ ou le titre de la chanson de Miguel  » Adorn « .
Sculpture immatérielle
  • Jesse Stecklow (né en 1993 – vit et travaille à Los Angeles, en Californie)
  • Box Breathing, 2024 – Corian, ballons, souffle 30,48 x 30,48 cm (hauteur variable).
  • L’artiste a produit pour l’exposition une nouvelle série d’œuvres intitulée Box Breathing  « respiration en boite » ou « respiration carrée« . Cette dernière est une méthode de respiration anti-stress qui consiste en décomposer la respiration en quatre étapes : inspirer – retenir – expirer – retenir. Cette pratique – notamment utilisée dans le yoga – est reconnue pour activer le système nerveux parasympathique et générer une sensation de détente. L’artiste matérialise cette respiration ici à travers quatre boites blanches dans lesquelles il inséré des ballons de baudruche, gonflés en utilisant cet exercice de respiration. Chaque ballon donne une forme visuelle à une des étapes de l’exercice.
  • Pierre Allain (né en 1998 – vit et travaille à Lyon)
  • Untitled, 2024 – Audio – oeuvre sonore – 4 min. 40 sec – Diffusion à entendre sur la terrasse du Musée, à l’abrit des bruits urbains
  • Sur l’une sur les terrasses du musée et l’autre sur le cours Xavier Arnozan – Pierre Allain diffuse une version a cappella du titre, très connu, de Whitney Houston « I Have Nothing » (1992). Celle-ci est chantée par la docteure Aicha N’Doye, spécialisée en chirurgie du cancer du sein et gynécologique à la Polyclinique Bordeaux Nord Aquitaine. La Dr. Aicha N’Doye s’est fait connaitre à la fin de l’année 2023 grâce à sa participation à l’émission « La France a un Incroyable Talent » avec son groupe « Les Soignantes » ainsi que par une vidéo postée sur les réseaux sociaux ou on la voit et entend chanter a une patiente juste avant une opération. « I Have Nothing » était le premier morceau chante par la Dr. Aicha N’Doye a une patiente. En faisant résonner la voix de la chirurgienne-chanteuse du CAPC vers l’extérieur, Pierre Allain fait chanter le musée et indique son potentiel rôle thérapeutique.
  • Adam Farah-Saad (né en 1991, il vit et travaille à Londres)
  • T1M (The Endz Portorbital Alchemical Mix), 2021
  • Fontaine en acier, soda KA Black Grape. 40 × 145 × 145 cm.
  • Pour concevoir ses œuvres, Adam Farah-Saad puise d’abord dans ses propres expériences et souvenirs liés à certains lieux de Londres – où il vit encore actuellement. Celles-ci prennent la forme d’installations sculpturales, de vidéos, de sauces ou encore de parfums et ont pour ambition commune de tordre le temps par d’autre ses que la vue – ici l’odorat est convoqué. Ces moments complexifient les notions de nostalgie et de mélancolie, de deuil et de plaisir. La fontaine qui se trouve à l’entrée de l’exposition propose une source inépuisable de soda « KA Grape », une boisson associée plus particulièrement à la communauté caribéenne en Grande- Bretagne et a l’enfance de l’artiste. En remplaçant l’eau par cette boisson ultra-sucrée que l’on peut trouver sur des aires de repos, la fontaine devient un portail temporel et spatial pour l’artiste.

Nos élèves au pied du pont Chaban-Delmas. quelques rappels du cours de technologie :

  • Pont particulier ayant une travée levante de 2 600 tonnes, mesurant  120 mètres de longueur et 45 mètres de largeur
  • Sur cette photo, sont visibles les 4 tours de 81 mètres de hauteur.
  • Dans chacune des tours, un contrepoids de 600 tonnes et des poulies permettent le levage de la travée centrale, afin de laisser passer paquebots et grands voiliers

L’après-midi, notre groupe est allé visiter l’exposition « DINOSAURES »

« vaisseau spatial » Œuvre monumentale, commande publique passée, en 2013, par la ville de Bordeaux à l’artiste londonienne Suzanne TREISTER, installée sur le bassin à flot n°1 depuis 2018. Cette sculpture rappelle les conséquences potentiellement positives et ou désastreuses des progrès de la science et de la technologie.
Un vaisseau spatial, en tant qu’objet imaginaire technologique de « science-fiction », manifestation des fantasmes de la technologie – d’un futur au-delà de la terre.

La formation des fossiles nécessite des conditions particulières. C’est pour cela que l’on ne les trouve pas n’importe où et qu’avant d’entreprendre des fouilles, une étude détaillée des sites est indispensable. Les élèves découvrent quelles sont les roches susceptibles de révéler des fossiles et l’intérêt des cartes géologiques et chrono-stratigraphiques.
Une fois les conditions idéales de fouille réunies, il est temps de partir sur le chantier ! Grâce à un module de fouilles, les visiteurs touchent du doigt le métier de paléontologue. En quoi consiste son travail sur le terrain ? Comment exhume-t-il les restes fossiles des êtres vivants du passé, enfouis dans les roches ou dans les sédiments géologiques ?

Les œufs de dinosaures
Depuis leur première découverte en 1859, les paléontologues ont mis au jour presque partout dans le monde des œufs de dinosaures et des nids. L’étude de ces fossiles particuliers permet de lever le voile sur des caractéristiques anatomiques et comportementales des dinosaures ainsi que sur des données phylogénétiques. La manière dont les oeufs sont pondus, par paires ou individuellement permet de savoir si l’espèce qui les a pondus possède deux ovaires ou un ovaire unique, comme les oiseaux. La découverte de spécimens de dinosaures « posés » sur des nids ainsi que la répartition des œufs fournissent des informations quant au comportement parentaux des dinosaures (protection ou couvaison).

DÉFI CURIEUX! est une forme de médiation scientifique reprenant les codes des jeux télévisés, afin d’enrichir les connaissances liées aux sciences de manière ludique. Il mettra en compétition 2 équipes d’élèves.
Les équipes devront s’affronter au travers de quiz, nécessitant réflexion et rapidité. Ils seront amenés à réinvestir les savoirs développés dans l’exposition et faire appel à leurs connaissances personnelles.
Au programme : connaissances générales sur les dinosaures ! Leurs caractéristiques, leurs milieux de vie, leurs records, leurs traces dans l’histoire et les histoires… Quelle place occupent-ils dans notre culture et l’imaginaire collectif.
Déroulement : 2 équipes sont constituées et s’affrontent sur 3 manches de QCM.

Le soir à 20H, les élèves se sont installés au parterre du Grand-Théâtre de Bordeaux (nous n'avons jamais eu d'aussi bonnes places) pour assister à l'Opéra "LE BARBIER DE SÉVILLE REVISITED". 

 Vous pourrez accéder au programme et à la note d’intention du metteur en scène en suivant ce lien : https://www.pearltrees.com/s/file/preview/349899886/LeBarbierRevisited.pdf?pearlId=695287467&attachmentId=2808999

Ici, une petite vidéo dans laquelle Sofia Kirwan-Baez, jouant le rôle de Rosina et Martin Queval, celui de Figaro, explique le parti pris de cette adaptation et leur interprétation du « Barbier de Séville » :

 

Pour en savoir plus sur le Grand-Théâtre [Opéra National] de Bordeaux : suivez ce lien – https://www.pearltrees.com/s/file/preview/350007264/Grand+Theatre+etc.pdf?pearlId=695503476&attachmentId=2814903

  • EN LIEN AVEC LES PROGRAMMES
  • FRANÇAIS
  • Identifier et mémoriser des informations importantes, leurs enchaînements, mettre en relation ces informations pour leur donner du sens Participer à des
  • échanges dans des situations diverses :
  • Respecter les règles de la conversation organisée (quantité, qualité, clarté et concision, relation avec le propos)
  • Développer le lexique en lien avec le domaine visé. Utiliser le vocabulaire mémorisé
  • Savoir construire son discours (organisation du propos, enchaînement des phrases)
  • Comprendre et interpréter des messages et des discours oraux complexes:
  • Hiérarchiser des informations d’un discours, mémoriser des éléments importants
  • Participer de façon constructive à des échanges oraux :
  • Construire des relations avec autrui dans un échange, une conversation, une situation de recherche
  • ENSEIGNEMENT MORAL ET CIVIQUE
  • Construire une culture civique Exercer son jugement, construire l’esprit critique:
  • S’informer de manière rigoureuse.
  • Distinguer ce qui relève de l’exposé des faits de ce qui relève de l’expression d’un point de vue.
  • ARTS PLASTIQUES /ENSEIGNEMENTS ARTISTIQUES
  • Identifier La représentation plastique et les dispositifs de présentation
  • Connaître Les différentes catégories d’images, leurs procédés de fabrication, leurs transformations : la différence entre images à caractère artistique et images scientifiques ou documentaire
  • Interpreter des donneés scientifiques pour donner à voir, vulgariser et faire comprendre des conceptes, par la création d’images ou de volumes, via divers outils, techniques, ou technologie. (Imaginer la couleur des dinosaures, alors que nous n’avions, jusqu’a présent, aucun moyen de la connaitre).
  • Sciences de la Vie et de la Terre
  • Identifier par l’histoire des sciences et des techniques comment se construit un savoir scientifique.
  • Aborder La biodiversité dans ses différentes dimensions : diversité et dynamique du monde vivant à différents niveaux d’organisation ; dynamique des populations ; diversité génétique ; diversité des relations interspécifiques, apparition et disparition d’espèces au cours du temps
  • Mettre en évidence des faits d’évolution des espèces et donner des arguments en faveur de quelques mécanismes de l’évolution.
  • Apparition et disparition d’espèces au cours du temps (traces fossiles des premiers organismes vivants sur Terre)
  • Maintien des formes aptes à se reproduire, hasard, sélection naturelle.
  • SCIENCES ET TECHNOLOGIE
  • Pratiquer des démarches scientifiques et technologiques Utiliser des instruments d’observation, de mesure, des techniques de préparation, de collecte
  • Se situer dans l’espace et dans le temps
  • Maîtriser les notions d’échelle spatiale et temporelle et en citer quelques ordres de grandeur caractéristiques 
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  • ……………………………………………………………………ETC………………………………………………………….

1 réflexion sur “Sortie culturelle et scientifique, à Bordeaux des classes de 4ème 3 et 4 (14/02/2025)”

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